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Billy est mort.
NAN! C'EST IMPOSSIBLE !!
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Billy est mort.
NAN! C'EST IMPOSSIBLE !!
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Pourquoi tu spames tous tes messages ? Tu veux rattraper pingouinpoilu ?
Croix de bois, croix de fer, si je mens je croise les doigts, spece de coquinou.
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Pourquoi tu spames tous tes messages ? Tu veux rattraper pingouinpoilu ?
Non x) Ping est trop avancé.
Je le fais car Ping le fais et Adrriii aussi.
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"Je me jette sous un bus parce que j'ai vu un type le faire"
Croix de bois, croix de fer, si je mens je croise les doigts, spece de coquinou.
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Et puis Billy est pas mort, il va juste sur d'autres serveurs, j'ai joué avec lui hier.
Juju: Back m'en a fait la proposition déjà, mais j’essaierais, malgré les avis mitigés
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"Je me jette sous un bus parce que j'ai vu un type le faire"
Se jeter sous un bus c'est assez préjudiciable dans le vie de tous les jours, spamer, non.
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Oui, mais ça n'enlève rien au fait que :
Se jeter sous un bus parce que d'autre le font, c'est aussi coquinou que de spamer parce que d'autre le font.
Je ne dis pas que spamer c'est coquinou. Je dis que le faire parce que d'autres le font c'est coquinou (Bêêêêêhhhh).
Croix de bois, croix de fer, si je mens je croise les doigts, spece de coquinou.
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Exactement :x
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Les chevaliers d'émeraude c'est de la bouse gnangnan high fantasy, Le Trone de Fer, y'a qu'ça de vrai !
Non mais t'es coquinou ou quoi ? Tu es le seul ici pour l'instant à trouver nul ce chef-d'oeuvre qu'est les chevaliers d’Émeraude.
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Oui, mais ça n'enlève rien au fait que :
Se jeter sous un bus parce que d'autre le font, c'est aussi coquinou que de spamer parce que d'autre le font.
Je ne dis pas que spamer c'est coquinou. Je dis que le faire parce que d'autres le font c'est coquinou (Bêêêêêhhhh).
Sauf que tu n'expliques en rien ce qu'il y a de stupide à refaire une action qui n'est pas préjudiciable, tu ne fais qu'énoncer un fait.
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Alors j'explicite...
Tout d'abord, j'aime lire et c'est vrai que certains passages m'ont plu, notamment le tome 3 que j'ai adoré et relu plusieurs fois.
Mais ce n'est pas pour autant que j'aime la série dans son ensemble :
- Pour commencer, le scénario est plat et manichéen. Ce qui pourrait être considéré comme un rebondissement n'est souvent rien d'autre qu'une péripétie supplémentaire pour rallonger l'histoire et en faire une pompe à fric type Harry Potter.. C'est déjà le genre de chose qui me donne envie d'arrêter de lire un bouquin, mais j'ai quand même pris la peine de me taper les douze tomes pour pouvoir un jour convaincre des gens de ne pas perdre leur temps à lire ces trucs. C'est une vraie perte de temps.
- Il y a des elfes, passe encore, mais bonjour l'originalité.
- Il y a des fées. Non mais bordel de merde, c'est quoi le problème ? Si ça c'est pas la preuve que c'est cul-cul la praline...
- Tous les royaumes font copain-copain, aucun ne bouge le petit doigt en se disant qu'en s'alliant avec l'empire qui recouvre la moitié du globe il a une meilleure chance de survivre.
- Toujours sur les royaumes, vous trouvez pas ça bizarre qu'ils se foutent pas sur la tronche, que les familles royales soient aussi réduites, qu'il y ait pas de rivalité particulière, à part peut être avec le Royaume d'Argent qui fait un peu effet de laxatif tout le monde, si je me rappelle bien, mais encore une fois ça fait un peu manichéen.
- Un problème récurrent dans les saloperies fantaisiste en tout genre (et j'espère que les séries que j'affectionne n'en seront pas touchées), le magique à outrance. Je veux bien qu'il y ait un ordre de chevaliers-mages, c'est même un peu le principe, mais au bout d'un moment on en a par dessus la tête. Et vas-y que je te balance des dieux, des immortels et tout un tas d'enfoirés divins qui sont là que pour faire effet de laxatif. Perso, c'était pas trop mon truc. Pareil pour la pseudo-résurrection d'Onyx qui rajoutait de sacrés longueurs, sauf à la limite lors de petits passages de torture psychologique de Farrell qui sont sombres et bien décrits à souhait.
Pour illustrer un peu tout ça, voilà l'exemple d'un tome plus ou moins au milieu de la série : l'île des lézards.
Scénario plat et manichéen, acquis : les pauvres petits hommes lézards sont contraints à attaquer les gentils chevaliers par les méchants insectes. Les gentils chevaliers vont récupérer leurs femmes et ils découvrent alors que les lézards sont les victimes de l'histoire. Alors pourquoi ne pas devenir leurs amis ?
Si quelqu'un peut m'expliquer en résumé ce qui se passe d'intéressant dans ce tome à part la baston qui occupe moins de 5% du bouquin, je serais surpris.
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Alors j'explicite...
Tout d'abord, j'aime lire et c'est vrai que certains passages m'ont plu, notamment le tome 3 que j'ai adoré et relu plusieurs fois.
Mais ce n'est pas pour autant que j'aime la série dans son ensemble :
- Pour commencer, le scénario est plat et manichéen. Ce qui pourrait être considéré comme un rebondissement n'est souvent rien d'autre qu'une péripétie supplémentaire pour rallonger l'histoire et en faire une pompe à fric type Harry Potter.. C'est déjà le genre de chose qui me donne envie d'arrêter de lire un bouquin, mais j'ai quand même pris la peine de me taper les douze tomes pour pouvoir un jour convaincre des gens de ne pas perdre leur temps à lire ces trucs. C'est une vraie perte de temps.
- Il y a des elfes, passe encore, mais bonjour l'originalité.
- Il y a des fées. Non mais bordel de merde, c'est quoi le problème ? Si ça c'est pas la preuve que c'est cul-cul la praline...
- Tous les royaumes font copain-copain, aucun ne bouge le petit doigt en se disant qu'en s'alliant avec l'empire qui recouvre la moitié du globe il a une meilleure chance de survivre.
- Toujours sur les royaumes, vous trouvez pas ça bizarre qu'ils se foutent pas sur la tronche, que les familles royales soient aussi réduites, qu'il y ait pas de rivalité particulière, à part peut être avec le Royaume d'Argent qui fait un peu effet de laxatif tout le monde, si je me rappelle bien, mais encore une fois ça fait un peu manichéen.
- Un problème récurrent dans les saloperies fantaisiste en tout genre (et j'espère que les séries que j'affectionne n'en seront pas touchées), le magique à outrance. Je veux bien qu'il y ait un ordre de chevaliers-mages, c'est même un peu le principe, mais au bout d'un moment on en a par dessus la tête. Et vas-y que je te balance des dieux, des immortels et tout un tas d'enfoirés divins qui sont là que pour faire effet de laxatif. Perso, c'était pas trop mon truc. Pareil pour la pseudo-résurrection d'Onyx qui rajoutait de sacrés longueurs, sauf à la limite lors de petits passages de torture psychologique de Farrell qui sont sombres et bien décrits à souhait.Pour illustrer un peu tout ça, voilà l'exemple d'un tome plus ou moins au milieu de la série : l'île des lézards.
Scénario plat et manichéen, acquis : les pauvres petits hommes lézards sont contraints à attaquer les gentils chevaliers par les méchants insectes. Les gentils chevaliers vont récupérer leurs femmes et ils découvrent alors que les lézards sont les victimes de l'histoire. Alors pourquoi ne pas devenir leurs amis ?
Si quelqu'un peut m'expliquer en résumé ce qui se passe d'intéressant dans ce tome à part la baston qui occupe moins de 5% du bouquin, je serais surpris.
La magie, c'est pourtant bien pratique pour les écrivains.
Ca permet de résoudre tous les problèmes sans se casser la tête
Dernière modification par Nobody24 (2013-03-21 19:31:59)
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Moi perso je me sens un peu trahi quand je vois ça. C'est limite si le problème doit pas être résolu : on peut pas tout réparer, alors pourquoi dans le livre ça devrait systématiquement bien se terminer.
Je cite le Trône de Fer parce que c'est ma série de (dark) fantasy préférée, mais rien qu'à la fin du troisième tome, c'est certain que ça se terminera pas bien. Y'a eu trop de morts, les personnages attachants encore en vie sont brisés, etc...
Pourtant on a quand même la magie qui émerge de plus en plus, sans pourtant occuper une place trop importante. Il n'y a pas de mystère / intrigue uniquement lié à la magie avant les tomes quatre et cinq, et ils sont suffisamment troubles et denses pour que ce soit pas gavant. Avec le système de PoV pour les personnages, c'est pas pesant même si l'atmosphère générale l'est.
Quand on compare ça aux Chevaliers d'Émeraude, on voit tout de suite quelle saga est mature et laquelle n'est pas, mais après c'est certain que si c'est vraiment l'évasion et l'ambiance conte de fée qu'on recherche, avec une dose d'action, on est servi dans les Chevaliers d'Émeraude.
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C'est surement ce qui me rebute le plus dans ce genre de lecture. Comme l'a si bien dit pingouinpoilu, je me sens trahis lorsque je découvre que, finalement, la magie a rétabli l'ordre dans le monde et que le dragon se transforme en princesse. On va dire que je préfère la logique à l’irréalité.
Nous avons formé nos propres chaînes.
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